Ça fait drôle un peu.
Je l'ai tellement aimé, il m'aura au moins laissé cette passion pour l'écriture en souvenir de notre nous qui se résume à ces quelques lignes.
J'ai retrouvé aussi l'intégral de mon ancien blog que j'ai sauvegardé à la vitesse avant de le supprimer, pour cause d'intrusion de mon entourage. Cocasse.
En vrac ! : )
'' Je me suis accrochée à des miettes de rien, parce que je croyais que je ne valais pas mieux. "
" Je t’aime comme on aime la pluie ou les saisons, je t’aime sans réfléchir, par habitude. Je t’aime et je n’y pense plus ; je devrai peut-être y songer, maintenant. "
" Et quand tu as laissé ma main pour prendre la sienne, j’aurai voulu lire dans tes yeux ne serait-ce qu’une goutte d’hésitation, en mémoire à tout ce que nous avons vécu. Mais je te connais, j’ai préféré fermer mes yeux obstinément pour ne les rouvrir qu’à la fin, quand tu avais lâché vraiment ma main, quand tes doigts n’obstruaient plus les miens. J’ai regardé droit devant : j’étais seule. J’ai vacillé, et j’ai pleuré. J’ai pensé me laisser tomber, j’ai pensé tout abandonner. J’allais, d’une façon ou d’une autre, trébucher sans toi. C’était inévitable. "
" Ce soir, j'ai les yeux pleins de beaux sourires ineffaçables. "
" Il m'a regardé et j'avais l'impression que la fameuse force qui sommeille en nous et que l'on nous vante à tout bout de champ existait vraiment. "
" Vous m'avez surnommé votre soleil, un jour, mais j'ai oublié comment briller. "
1 commentaire:
C'est une belle verve, malgré le vrac. ;)
" Vous m'avez surnommé votre soleil, un jour, mais j'ai oublié comment briller. " C'est magnifique !
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